recherche petit chat désespérément
Dimanche il faisait ses premiers pas dehors en liberté. D'abord nous l'avons suivi puis il s'est absenté une petite heure pour revenir nous attendre devant la porte du garage. Alors lundi matin, quand il a filé entre mes jambes, je l'ai laissé courir. Je ne partais que pour trois heures, ça me semblait raisonnable.
Pourtant il n'est pas revenu. L'Homme des bois l'a cherché une heure, l'après-midi, et moi de même, à la tombée de la nuit. On devait avoir l'air fin dans le quartier avec nos "Cheeeewyyyyy ! Minou minou" et autres petits noms débiles.
Ça n'a pas suffi à le faire revenir. Mardi il a placardé des affichettes avec sa photo dans les commerces environnants. Le médiateur du quartier a passé le message aux enfants. On a même pris contact avec une association recueillant les chats errants.
Mais il n'est toujours pas là. Ma soeur, grande spécialiste de la question féline devant l'éternel, a été consultée. Sa première question : "Y a-t-il un cours d'eau près de chez vous ?". Aïe, oui.
Aujourd'hui donc j'ai remonté puis descendu le lit de la rivière, scandant tous ses petits noms, et délaissant au fil de l'eau, un par un, les lambeaux de mon manteau d'espoir qui me tenait chaud depuis trois jours...
Pourtant il n'est pas revenu. L'Homme des bois l'a cherché une heure, l'après-midi, et moi de même, à la tombée de la nuit. On devait avoir l'air fin dans le quartier avec nos "Cheeeewyyyyy ! Minou minou" et autres petits noms débiles.
Ça n'a pas suffi à le faire revenir. Mardi il a placardé des affichettes avec sa photo dans les commerces environnants. Le médiateur du quartier a passé le message aux enfants. On a même pris contact avec une association recueillant les chats errants.
Mais il n'est toujours pas là. Ma soeur, grande spécialiste de la question féline devant l'éternel, a été consultée. Sa première question : "Y a-t-il un cours d'eau près de chez vous ?". Aïe, oui.
Aujourd'hui donc j'ai remonté puis descendu le lit de la rivière, scandant tous ses petits noms, et délaissant au fil de l'eau, un par un, les lambeaux de mon manteau d'espoir qui me tenait chaud depuis trois jours...