fermeture
Pardon pour ces trop longs silences. Cet espace ouvert aux quatre vents n'est plus en adéquation avec ce que je souhaite publier. Et surtout, j'avoue, j'ai été très absorbée par la vie telle qu'elle s'est présentée, depuis tous ces mois.
Pour ceux qui ont pu s'inquiéter - je vais bien. Ce qui ne veut pas dire que la mer sous notre coque est d'huile. Mais elle est belle.
Je ne vais rien déménager pour l'instant.
Juste partir pour un ailleurs mieux cloisonné.
Ceux qui veulent continuer de me lire pourront se manifester dans les commentaires de ce dernier billet. Je demande pardon, d'avance, à ceux que je ne pourrai laisser entrer tout de suite. J'ai besoin d'intimité pour raconter vraiment, sans me compliquer la vérité avec des pseudos et des formules alambiquées. Il me faudra peut-être un peu de temps pour m'ouvrir vraiment.
C'est que j'ose encore à peine être moi, voyez..
Bon vent à tous.