les soirs où je ne blogue pas
Il y a la fatigue de la fin de la semaine. La mienne tout d'abord : ma fin de semaine tombe le jeudi, encore que, par exemple ce soir je sois de vernissage et demain de spectacle. Ce ne sont pas tant les évènements que leur préparation qui demandent du temps et de l'énergie. Il y a aussi la fatigue de l'Homme des bois, une semaine de bûcheronnage, ça vous épuiserait l'homme le plus fort de la terre (qu'il n'est pas loin d'être, me dis-je parfois). L'Homme des bois, en fin de semaine, ne me seconde plus dans la logistique quotidienne. Et enfin il y a la fatigue de Mamzelle, qui arrive pile au moment où on voudrait se relâcher un peu, mais il ne faut pas. Parce que ça tourne mal, toujours, quand le cadre s'affaisse.
Hier soir par exemple, c'est la maman d'une de ses copines de classe, voisine et copine de nous, de surcroît, qui l'a récupérée à l'école pour cause d'embourbage de véhicule de l'Homme dans un bois de l'Aude. Lorsqu'il se fut tiré de ce mauvais pas et qu'il se présenta devant la porte de la copine, Mamzelle lui réserva un accueil réservé en l'informant qu'elle était invitée à dîner, plait-il, et qu'on lui avait proposé des frites - comment lutter ?
Quand je rentrai du travail, je le trouvai donc seul. Je tournai en rond quelques minutes en me demandant que faire de la sur-activité du soir à laquelle mon corps s'est habitué, faut bien. Nous nous sommes alors souvenu qu'il fut un temps où nous prenions l'apéro, parfois, en fin de semaine. Dont acte.
Il s'en fut ensuite la chercher et revint avec une lutine sur-excitée. La crise ne fut pas longue à arriver. Beaucoup plus longue à juguler par contre. Elle nous a vidés de notre substance jusqu'à la fin de la soirée - écourtée pour ma part. Dans ces cas-là, autant se coucher - il y aura bien des lendemains, pour raconter...
Hier soir par exemple, c'est la maman d'une de ses copines de classe, voisine et copine de nous, de surcroît, qui l'a récupérée à l'école pour cause d'embourbage de véhicule de l'Homme dans un bois de l'Aude. Lorsqu'il se fut tiré de ce mauvais pas et qu'il se présenta devant la porte de la copine, Mamzelle lui réserva un accueil réservé en l'informant qu'elle était invitée à dîner, plait-il, et qu'on lui avait proposé des frites - comment lutter ?
Quand je rentrai du travail, je le trouvai donc seul. Je tournai en rond quelques minutes en me demandant que faire de la sur-activité du soir à laquelle mon corps s'est habitué, faut bien. Nous nous sommes alors souvenu qu'il fut un temps où nous prenions l'apéro, parfois, en fin de semaine. Dont acte.
Il s'en fut ensuite la chercher et revint avec une lutine sur-excitée. La crise ne fut pas longue à arriver. Beaucoup plus longue à juguler par contre. Elle nous a vidés de notre substance jusqu'à la fin de la soirée - écourtée pour ma part. Dans ces cas-là, autant se coucher - il y aura bien des lendemains, pour raconter...